Les lois du vivant

Les lois du vivant

Il y a 3 ans, j’ai suivi « Un stage pour changer de vie » avec Irène Grosjean (1), naturopathe depuis plus de 60 ans.

Ma rencontre avec cette grande dame de la naturopathie a été riche d’enseignements et au combien humaine et vivante.
3 jours pendant lesquels, Irène nous a parlé de la « vraie » santé naturelle et des lois du vivant.

Nous y avons aussi « crusinés » de succulents plats et desserts vivants plein de saveurs : tartinades, crackers, pizza et tartes crues, crèmes d’oléagineux, purées de fruits,…

Irène Grosjean

Quelques mois plus tard, le stage « reNaissance » avec David Tan (2), ostéopathe et fondateur de la méthode « Life Force » des 5 piliers de la vie, a complété cet enseignement par une vision plus holistique incluant également la gestion du stress et le renforcement mental et physique.

David Tan LifeForce
L’application et la pratique de ces lois du vivant m’ont réellement transformées en m’apportant une vitalité et un bien être que je ne pensais jamais pouvoir atteindre.

(1) Irène Grosjean – http://www.santenaturopathie.com/
(2) David Tan – https://lifeforcewithyou.com/



Quelles sont ces lois du vivant sensées nous apporter la pleine santé ?

– La 1ère loi est celle de la respiration

Respiration

Nous venons au monde avec la première inspiration et nous le quittons avec la dernière expiration.

Une respiration, consciente et maitrisée, peut créer de grands changements au niveau de votre santé et de vos performances.
L’idéal étant bien sûr de respirer un air pur riche en ions négatifs propices à la vie. Ceux-ci favorisant les échanges entre les cellules et la pénétration d’oxygène au niveau pulmonaire. Ils ont également la particularité de débarrasser l’atmosphère des bactéries.

La vie à la campagne sera alors bien préférable à la vie en ville, à condition de ne pas habiter à côté d’un champ arrosé régulièrement de pesticides.

Une respiration nasale est essentielle à une bonne gestion du stress.
De nombreux avantages à respirer par le nez plutôt que par la bouche :

  • Les poussières et les particules sont filtrées par les poils nasaux et les mucosités
  • Il y a une stimulation de la production d’oxyde nitrique, un anxiolytique naturel, qui va également stériliser l’air transporté dans les poumons et augmenter la quantité d’oxygène absorbée par le sang.

La respiration abdominale est aussi un excellent moyen pour gérer nos émotions et nous reconnecter à notre corps.

Un exercice respiratoire très intéressant est la cohérence cardiaque.
il consiste à inspirer pendant 5 secondes, puis à expirer pendant 5 secondes.
Renouveler cette respiration lente et profonde pendant 5 minutes.
L’inspiration se fait par le nez et l’expiration par le nez ou la bouche.
A pratiquer le matin au réveil et le soir avant le coucher.
A pratiquer également avant un évènement stressant ou après un choc émotionnel.

– La 2e loi est celle de l’alimentation (vivante)

Une fois sorti du ventre de notre mère, nous cherchons le sein nourrisseur.

Pour la préservation et la régénération de la santé et de la vitalité, une nutrition sans produits chimiques, conservateurs ou colorants est la base.
Dans une optique de pleine santé, la base de notre alimentation doit être la plus vivante possible. Une alimentation essentiellement crue et conforme à celle des grands singes censés être « frugo-végétariens » et qui ont, selon l’anatomie comparée, le même système digestif que l’homme.

Les céréales (réservées aux granivores), les produits transformés et raffinés sont proscrits car considérés comme non viables

Quatre catégories d’aliments

Dans les années 1920, un jeune érudit, Edmond Bordeaux Szekely, pratiquant des langues très anciennes et effectuant des recherches dans les archives du Vatican, découvrit des écrits d’une communauté juive, les Esséniens. Leur traduction nous révéla que cette communauté jouissait d’une bonne santé et d’une surprenante longévité (environ 120 ans).
Les Esséniens consommaient des graines germées et des végétaux crus et connaissaient le pouvoir curatif des aliments vivants.
L’ Alimentation vivante se réfère au régime alimentaire des Esséniens.

Edmond Bordeaux Szekely classe les aliments en quatre catégories :

  • les aliments biogéniques, régénérateurs de vie (graines germées, jeunes pousses, riches en enzymes et en énergie) et regroupant la plupart des aliments n’ayant subi aucune transformation
  • les aliments bioactifs qui entretiennent la vie (fruits, légumes et oléagineux crus et frais)
  • les aliments biostatiques qui ralentissent la vie (aliments d’origine animale, aliments cuits, végétaux non frais)
  • les aliments biocidiques qui détruisent la vie (tous les aliments industriels, qui contiennent des produits chimiques et qui, au lieu d’engendrer la vie, la détruisent).

Une alimentation adaptée

La seule alimentation appropriée et adaptée à notre physiologie est celle qui vient de la nature. Ce sont les aliments naturels, frais, de saison, biologiques et issus d’une agriculture respectueuse de la terre et du sol.
C’est pourquoi il faut favoriser principalement les fruits et les légumes, les huiles de première pression à froid et les oléagineux.

Dans l’optique de ne pas dénaturer tous les micronutriments qu’ils renferment, les végétaux doivent être consommés crus. Ceci afin de conserver intacts et disponibles enzymes, vitamines, oligo-éléments et minéraux.
Selon le Docteur Jean Seignalet, à partir de 42°, les enzymes perdent leur activité et passé 70°, toute activité enzymatique a disparu.
A partir de 60°, la vitamine C, qui est la plus fragile des vitamines, est détruite.
Dès 90°, les autres vitamines commencent à disparaître à leur tour.
Au-delà de 100°C, les sels minéraux et les oligoéléments précipitent, ce qui les rend peu ou pas assimilables par l’organisme.
A 110°, il ne subsiste plus aucune vitamine.
La consommation de jus de végétaux (à l’extracteur de jus) est ici alors tout indiquée afin de faire le plein de micronutriments totalement bio-disponibles.
La cuisson à la vapeur douce, inférieure à 95° (comme avec le vitaliseur par exemple) peut être une alternative pour les estomacs fragiles ayant du mal à digérer les fibres des végétaux crus, dans un premier temps.

Protéines animales

Consommée sans excès, la viande doit provenir d’un élevage en plein air avec des animaux nourris à l’herbe (correspondant avec leur nature de ruminant).
Concernant le poisson, on choisira plutôt les anchois (qui ont un cycle de vie très court et accumulent donc moins de toxines), les noix de Saint-Jacques et le saumon sauvage d’Alaska qui sont les moins contaminés par les polluants.
L’œuf, quant à lui, est la protéine animale la moins toxique et doit être consommé biologique, frais et peu cuit.

Céréales et les légumineuses

Il est important de les choisir complètes, biologiques, non raffinées et de les consommer très occasionnellement. Il est également vivement préconisé de les tremper afin d’amorcer le processus de germination, ce qui les rendra vivantes, neutralisera les inhibiteurs d’enzymes (acide phytique) qui s’opposent à la bonne assimilation de plusieurs minéraux (calcium, fer, magnésium, …), augmentera leur teneur en vitamines (surtout celles du complexe B) et améliorera leur digestion.

Lait animal

La consommation de lait animal n’est pas considérée comme adaptée à l’homme. Y-a-t-il un seul mammifère sur notre planète qui boive du lait d’une autre espèce à l’âge adulte ?
La simple observation de la nature montre que le lait est réservé aux premiers mois de la vie, et exclusivement dispensé par la mère.
Dès le sevrage, il y a une chute brutale de l’enzyme intestinale (la lactase) qui permet de digérer le lactose (le sucre du lait). Le lait n’est donc pas indiqué chez les enfants et les adultes. Mentionnons aussi le fait qu’il contient 3,5% de protéines (lait de vache et de chèvre) contre 1,5% pour le lait maternel. Dans son livre, « The China Study » (« L’enquête Campbell » en Français), le Docteur Campbell montre la corrélation entre la consommation de caséine (la protéine du lait de vache) et le développement de cancers.

Des combinaisons alimentaires à respecter

La prise de ces aliments vivants s’effectuera en respectant les compatibilités alimentaires dont l’enseignement s’avère indispensable afin de favoriser une assimilation optimale.
L’ingestion d’aliments incompatibles va engendrer une digestion difficile d’une partie de ces aliments, entraînant alors des fermentations intestinales. Cette fermentation suscitera une mauvaise assimilation, une abondance de toxines, des gaz et des ballonnements.
En France, c’est le biologiste Désiré Mérien qui a repris et développé les travaux du Dr Shelton. Selon lui, l’être humain doit manger fruits et légumes séparément.
Les fruits nettoient plus ou moins l’organisme tandis que les légumes nourrissent le corps.
Le mélange le plus mauvais étant la protéine (acide) avec le farineux car un milieu alcalin est requis pour la digestion de l’amidon.
Attention donc à certaines combinaisons alimentaires qui favorisent la digestion alors que d’autres encouragent la fermentation et donc des pathologies digestives.

La frugalité

Réduire ses apports alimentaires est très bénéfique pour la santé.
C’est ce que montrent deux études de 2018, la première menée sur des primates par l’équipe du Muséum national d’histoire naturelle et du CNRS et publiée dans la revue Communications Biology. L’autre a été réalisée sur des humains par une équipe américaine dirigée par la biologiste Leanne Redman et publiée dans la revue Cell Metabolism.
Ces travaux mettent en avant les effets bénéfiques de la restriction calorique sur la longévité et la santé.
Celui qui mange modérément digère facilement ses aliments, en revanche celui qui mange beaucoup surcharge sa digestion et toutes les cellules de son corps en faisant beaucoup travailler son foie et son pancréas.
La quantité de nourriture varie naturellement selon la taille, l’activité physique ou sédentarité, l’âge, le sexe, la saison (été et hiver), l’état de repos et de stress.
L’important est moins ce que l’on mange que ce que l’on assimile. Le pouvoir d’assimilation est relativement plus important que la richesse et la quantité de l’aliment consommé. Éviter de manger à satiété permet de ne pas surcharger l’organisme.

La pratique du jeûne

Il est en effet démontré que le jeûne participe à l’homéostasie (principe d’autorégulation du corps), à la détoxination et à la régénération cellulaire.
Le mécanisme d’autophagie (ou autolyse), expliqué scientifiquement par le japonais Yoshinori Ohsumi (prix Nobel de médecine et physiologie 2016), est très actif durant la phase de jeûne. Littéralement, « autophagie » signifie que les cellules se mangent elles-mêmes. Il permet aux cellules d’éliminer des particules ou substances indésirables qui ont pu pénétrer dans les cellules : virus, bactéries, toxines, protéines dégénérées, etc.
Ce nettoyage des déchets, que la cellule accumule, par la cellule elle-même, provoque une désintoxication majeure de l’organisme.
La digestion utilise entre 40 et 60% de l’énergie du corps. Lorsque l’on jeûne, le corps a donc à sa disposition toute l’énergie disponible pour se régénérer et se reconstruire.
C’est un merveilleux outil de santé, qui ne coûte rien et qui est à la portée de tout le monde. La durée du jeûne sera bien entendu adaptée à la physiologie de chacun (poids, âge) et à son niveau de vitalité.
La seule contre-indication concerne les personnes très intoxiquées ou en traitement médicamenteux en raison du fait que l’autolyse remet en circulation dans le corps toutes les toxines afin de les éliminer, il y a donc un risque d’auto- intoxication.

– La 3e loi est celle du sommeil

Sommeil

Une fois rassasié, nous nous endormissons pour digérer ce premier repas.

Il est primordial de respecter les rythmes circadiens, qui correspondent aux schémas comportementaux des êtres vivants qui suivent un cycle d’environ 24 heures.
Notre cycle veille-sommeil réagit à la lumière et à l’obscurité, au jour et à la nuit. La perturbation de ce cycle peut entraîner de graves problèmes de santé.
Un sommeil nocturne de qualité représentera une grande compensation des activités diurnes et facilitera le processus de nettoyage et de reconstruction du corps.

Un paramètre important à prendre en compte est l’heure du coucher, elle doit se rapprocher le plus possible de celle du coucher de soleil.
On se couchera donc plus tôt en hiver qu’en été. Cela favorisera la récupération et la régénération de tous les organes du corps.
Éviter tous les écrans au moins 1h avant d’aller se coucher est aussi essentiel pour un bon endormissement et un bon sommeil.

– La 4e loi est celle de l’élimination

Elimination

Au réveil, nous éliminons les résidus de notre première digestion.

Aller à la selle après chaque repas devrait être la norme.
Ne pas y aller au moins 1 fois / jour est signe d’un état pathologique.

Il ne suffit pas de nourrir correctement son corps pour retrouver la santé, il faut aussi le nettoyer intérieurement.

D’où l’utilité des purges qui vont débarrasser les intestins des matières qui l’encombrent mais aussi activer nos systèmes d’élimination afin de déloger toutes les toxines accumulées.
Comme nous avons deux voies naturelles d’évacuation et deux sortes de résidus, il existe deux sortes de purge :
– les salines (ou magnésienne), qui vont dissoudre les cristaux d’acide urique
– les huileuses, qui vont éliminer les mucosités
Irène Grojean recommande de commencer par le chlorumagène puis par la magnésie san pellegrino, 2 purges magnésiennes qui vont permettre une petite vidange intestinale.

Si vos urines sont claires comme de l’eau, c’est que les reins sont encombrés de viscosités qui les empêchent d’éliminer l’acide urique
Dans ce cas-là, la prise d’huile de Ricin est recommandé en amont afin de nettoyer toutes ces viscosités.
L’huile de Ricin est utilisée depuis la nuit des temps pour décoller et expectorer les glaires et mucosités qui sont à l’origine de tous les rhumes, sinusites, bronchites, asthme, …
La vidange intestinale devrait être plus conséquente.

Cependant, n’abusons pas des purges car c’est un réel travail imposé à notre corps.
C’est comme pour la toilette, ne nous lavons pas de façon excessive et commençons toujours par un brossage à sec (avec une brosse végétale) pour stimuler la circulation lymphatique et éliminer peaux mortes et toxines.

– La 5e loi est celle du mouvement

Mouvement

Durant la phase d’éveil, le corps a besoin de se mouvoir pour ne pas se scléroser.

La pratique régulière d’activités physiques adaptées à chacun et non excessives est nécessaire à la bonne marche de l’organisme. Cette pratique doit s’accompagner de temps de relaxation, de détente et de méditation.
Tout ceci concourt à une bonne oxygénation de l’organisme, via la respiration, ce qui favorisera l’équilibre acido-basique sanguin et l’élimination des toxines.

C’est le mouvement du corps qui va aussi permettre une bonne circulation lymphatique et donc une bonne évacuation des déchets.
Irène Grosjean avait un petit trampoline dans son jardin et l’utilisait plusieurs fois par jour, à 89 ans, pour faire bouger la lymphe, disait-elle.

Les bienfaits mentaux et cognitifs d’un exercice régulier sont tout aussi important que les changements physiques qu’il procure.
Certaines formes d’activités sont bien entendu meilleures que d’autres :
la stimulation corporelle dans un environnement naturelle améliore nettement l’activité et les fonctions cérébrales.

Les effets bénéfiques de l’activité physique et sportive sur la santé sont connus depuis l’Antiquité. Ils sont confirmés par toutes les études épidémiologiques modernes qui montrent que le risque de décès prématuré est moindre chez les personnes physiquement actives, quels que soient l’âge et la cause de décès.
C’est réellement efficace pour la prévention de nombreuses maladies chroniques, cardio-vasculaires, ou encore dégénératives.
Il n’est plus à démontrer aujourd’hui tous les bienfaits qu’une pratique physique régulière va apporter au corps et à l’esprit.

Respecter et suivre ces lois du vivant s’avère être la clef pour vivre longtemps en bonne santé avec une vitalité préservée.

Je peux vous accompagner dans cette transition vers la pleine santé.
L’application des lois de la vie vous replacera sur les rails de la santé et donnera à votre corps tous les outils nécessaires à une régénération.

Certifié « Praticien Naturopathe » en 2019, j’aide depuis 1 ans, dans mon cabinet (ou en visio), des personnes désirant retrouver la santé et la vitalité.

Vous pouvez prendre RDV pour une consultation à Camors dans mon cabinet ou en visio (Skype / WhatsApp).

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La force vitale est en nous

La force vitale est en nous !

Quelle est donc cette force vitale, ou énergie de vie, qui nous habite depuis notre conception ?
Comment la définir et quelle est sa fonction au sein de notre corps ?
Quelles sont les causes et les signes visibles de son déficit ?

Je vais répondre à toutes ces questions afin que vous compreniez bien son importance et son implication première dans le maintien d’une bonne santé.

En fin d’article, je vous exposerai toutes les méthodes et solutions afin de la libérer et lui redonner le maximum de son potentiel.

Comment la définir ?

Energie vitale

La force vitale est ce qui anime tout être vivant sur la terre, dès son développement dans le ventre de sa mère jusqu’à sa mort.

Hippocrate, considéré comme le père de la médecine, écrit dans son immense œuvre datant du IV siècle av. J.-C, qu’elle gère, organise et restaure la santé.

Pas du tout évoquée dans la médecine allopathique occidentale, la force vitale occupe une place importante dans les cultures et médecines ancestrales, particulièrement orientales comme la Médecine traditionnelle chinoise et l’Ayurvéda.
Selon les pays et traditions, elle porte des noms différents : Prana chez les Hindoux, Chi chez les Chinois, Ki chez les Japonais ou Gall’ma chez les Tibétains.

La naturopathie, qui se référe aux enseignements d’Hippocrate, est fondée sur le principe de la force vitale. En homéopathie, cette énergie vitale dirige et fait progresser le remède, sans elle, la guérison ne sera pas possible.

Elle n’est pas vraiment observable et quantifiable, sa prise de conscience n’est donc pas aisée.
Or cette force vitale est bien présente en chacun de nous, au coeur de nos cellules, et agit dans le sens de la vie.
Dans son livre « Santé parfaite », Dr Deepak Chopra définit bien la capacité intelligente de chaque cellule : « Une intelligence innée et parfaite se cache dans nos cellules. Il est possible de la faire circuler en nous et d’inverser le processus de la maladie et de la vieillesse »

A quoi sert-elle ?

Force vitale

Beaucoup de maladies bénignes disparaissent spontanément grâce à elle, d’autres plus graves se développent en raison de sa diminution ou de sa faiblesse.
L’énergie vitale permet à nos cellules et nos organes de fonctionner de manière optimale, en assurant leur entretien et leur réparation en cas de lésions.
Elle fortifie aussi le système immunitaire et nous protège alors des infections comme la grippe ou la gastro-entérite par exemple.
Elle permet donc de conserver la pleine santé ou de la recouvrer en cas de maladie.

La fonction principale de la force vitale est de libérer le corps des toxines accumulées au sein de nos émonctoires (filtres) : le foie, les intestins, les reins, la peau et les poumons constituent ces organes filtres.
L’évacuation de ces toxines est primordiale si l’on veut éviter que tous ces organes ne « s’encrassent » et s’affaiblissent et ne pas provoquer des pathologies plus ou moins graves.

Notons que l’accumulation de ces toxines provient essentiellement d’une mauvaise hygiène de vie : alimentation trop copieuse et pas adaptée (trop de produits animaux et de sucres), surplus de stress, mauvais sommeil, sur-médication, consommation d’excitants et drogues (cigarette, alcool, …).

Cette expulsion peut parfois provoquer des syndromes plus ou moins dérangeants.
Respectez les symptômes d’élimination car ce ne sont que des crises curatives déclenchées par notre énergie vitale, comme la fièvre, les vomissements, les diarrhées, boutons, …

La fièvre est un moyen de défense en cas d’infection car les microbes ne peuvent vivre si la température est trop élevée.
La diarrhée permet d’évacuer ce qui a provoquer une intoxication alimentaire.
Les vomissements vont vider le corps de l’ingestion de substances toxiques.

N’ayez pas peur de ces maladies, qui n’en sont pas vraiment au sens propre du terme, et ne soyez pas trop interventionniste, laissez la maladie faire son travail.
Guidée par cette force de vie, elle devient alors une crise de guérison.

Sachez aussi que de grosses crises aiguës sont plutôt une bonne chose car elles sont le signe d’une énergie vitale bien présente.
Elles nous informent aussi que notre hygiène de vie n’est pas conforme à notre physiologie et en nous invite à corriger nos mauvais choix.

Notre corps possède de réelles capacités d’auto-guérison qui ne peuvent s’exprimer pleinement que si notre force vitale est suffisante.
Nous le voyons bien sur une simple coupure : une personne épuisée mettra beaucoup plus de temps à cicatriser qu’une autre pleine d’énergie.

Vous comprenez maintenant l’importance de la présence et de l’utilité de cette énergie vitale qui est au service de notre santé.

Cause et conséquence de son déficit ?

L’hygiène de vie délétère (alimentation, respiration, ondes, …) obstrue, réduit et étouffe cette énergie vitale
Chez les enfants, nous la voyons bien présente et abondante dans la majorité des cas : ils supportent beaucoup mieux les pathologies, leurs crises de guérison sont plus aigües et beaucoup plus courtes que les adultes.
En vieillissant, nous l’épuisons avec l’encrassement de notre organisme, que j’ai décrit plus haut.

Une mauvaise alimentation, un environnement stressant (professionnel, entourage, climat, air, ondes, …), une mauvaise respiration, un manque d’activité, le surmenage, … toutes ces façons de vivre vont monopoliser notre force vitale car celle-ci doit se débarrasser de tous ces déchets générés et s’adapter à toutes ces conditions non physiologiques afin de maintenir une santé optimale.

La toxémie de chaque individu, constituée des charges toxiques présentes dans le sang et la lymphe, est alors due à l’affaiblissement de cette énergie vitale, qui n’est plus en mesure de remplir son rôle d’élimination.

Cette sur-sollicitation de la force vitale va transformer nos maladies aigüe en maladies chroniques puis en pathologies beaucoup plus graves si l’on ne corrige pas nos mauvais choix.
Plus cette énergie est faible, moins la maladie ne pourra s’exprimer vers l’extérieur et plus le processus de détoxification sera long et compliqué.
Des maladies bien plus problématiques, sans élimination et donc sans symptômes apparents, pourront alors se développer, comme les tumeurs, les maladies neurodégénératives ou auto-immunes, par exemple.

Les solutions pour la régénérer

Afin de ne pas en arriver là, nous pouvons restaurer et retrouver notre force vitale par un changement de nos comportements et toutes une série de pratiques en accord avec notre physiologie.

La 1ère chose à faire est d’agir sur notre alimentation : favoriser une nourriture vivante et biologique, riche en micro-nutriments, vitamines, minéraux et oligo-éléments permet l’activation de notre énergie vitale et le bon fonctionnement de nos cellules.
Afin d’éviter un encrassement trop important, il est grandement conseillé de remplir son assiette avec des aliments vivants (légumes, fruits, oléagineux, …) et de limiter l’apport de sucres raffinés et de céréales.

La 2e chose est de mettre au repos notre organisme : jeûner, dormir suffisamment, limiter le temps d’exposition aux ondes électromagnétiques (wifi, 4G,…), tout ce qui ne pas pas solliciter la capacité d’adaptation du corps va permettre sa régénération.

La 3e chose est de retrouver un contact avec la nature pour la recharger : marcher pied nu dans l’herbe, se promener en forêt, se baigner dans la mer, …

La 4e chose est de pratiquer régulièrement des activités épanouissantes qui nous procurent du bien être : activités physiques, artistiques, intellectuelles, …

Des techniques mêlant la relaxation avec la respiration et le lâcher prise, ainsi que la gestion du stress et des blocages émotionnels vont aussi être très utiles.

A vous de jouer !

Force vitale

Vous avez maintenant les connaissances pour agir directement sur votre vie pour retrouver ou développer davantage cette force vitale au combien précieuse pour votre santé.

Si vous le souhaitez, je peux vous accompagner dans le développement et la restauration de votre force vitale.
Votre corps aura alors la possibilité d’activer la régénération.

Certifié « Praticien Naturopathe » en 2019, j’aide depuis 1 ans, dans mon cabinet (ou en visio), des personnes désirant retrouver la santé et la vitalité.

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